Le Lai D'Hyrion

Voici en tout premier lieu ma première oeuvre qui se trouve être un lai (pour ceux qui ne sauraient ce que c'est, trouvez une definition mes bon amis )

Donc ici est raconté dans ce lai l'histoire d'Hyrion, habitant d'hyrule, qui se veut dramatique et douloureuse. J'espêre que vous apprecierez !
Si c'est le cas, je posterais les autres parties !
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Jeune et bel être debout sous le ciel d'Hyrule royaume des peuples libres
Terre béni des déesses, mer lointaine du sud se trouvait-il.
Il n'était autre qu'un marin solitaire
qui cherchait flamme à son coeur.
L'insulaire se tenait seul et fier sur le port,
le visage serein
Le souffle du vent d'est le portait vers la mer
Les lointaines marées d'écumes l'appelaient.
Le jeune Hyrion vivait en homme libre,
Une vie bien paisible
Mais à toute aube vient un nouvel espoir
Alors en sur les sentiers de sa solitude,
Il croisa le chemin de la belle inconnue.
Le coeur battant il lui fit la cour bien des jours
Aussi charmante et jolie qu'elle était,
La créature de ses rêves n'y résista pas plus.
Maintenant accompagnée de sa princesse et de son ailleurs
Son bonheur était à présent complété et bien inespérée

Ce fût avec tout bon idylle
Qu'il dansa de nombreux jours avec l'Amour.
Mais adieu il lui murmura avec regret
Car sa moitié s'en fût, assassiné.
Les pillards sans remords avaient frappés
Qu'ils soient maudit !
Qu'il paient de leurs vies
leurs forfaits mal avisés,
Car Hyrion L'Insulaire était un homme d'armes meurtrier
C'est au crépuscule de sa folie guerrière
Que le sang coula à flot et les larmes vers les étoiles.
Ce fût des jours triste d'été
Tout comme des siècles en hiver
Qui devant ses yeux embués
Sans dernier au revoir passèrent
.
Son coeur maintenant crucifié
Le sang des autres parcourait son corps
Il ne craignait plus ni homme ni dieu
Il dansait avec la mort
Sang et guerre
voilà ce à quoi son coeur pourri y était dû
Nul mortel ne mettait le Kor'ael à terre
Cet ange déchu laissé seul à son triste sort.
Sérénité de l'eau s'était mue à la bien grande folie du feu,
Qui tiendra sa lumière et sa lanterne loin des ombres ?
Il ne fût que trop tard avant que le souffle du deuil fou
vienne dispenser la lueur dans ses yeux qui n'était qu'âme morte,
seule et bien en peine dans une impasse de détresse.
Tristesse pour une sentence qui ne devait point tomber
Sur un homme qui n'avait jamais vu l'amour.
Que les déesses pardonnent l'errance du criminel innocent.
Le Lai d'Hyrion.

Excellent... Mais vraiement EXCELLENT !!

Super bien écris!

Future écrivain ?

Je vous remerci beaucoups de vos eloges

Je poste ainsi donc la suite et qui est la deuxième partie. Qui se veut autant pleine de tristesse que de beauté, enfin je l'espère. Prenez donc un egreable moment à le lire.

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Trop près de lui elle s'est approché
La peur la rendu fou
La paradis flamboyait blanc et immaculé
dans ses yeux si dévoyé
le retour sur terre fut difficile
Cette nuit il s'est perdu
c'était une princesse, une belle inconnue
Un amour, un ailleurs
Qui s'était accroché un bref instant à son coeur.
Mourir ou perdre toute humanité
pour lui ce n'était pour son beau regard que défi relevé

Sa chevelure au vent, elle s'en allait intrépide
L'ivresse du silence, ses yeux humides
Lui frissonait, Elle dansait morte séparé de son âme
Elle l'avait appelé sous son linceuil d'écumes
des larmes à la mer perdues
Ses lèvres glacés, elle voulait répondre en souriant
A l'appel éperdu de son récif ébranlé
Puis dans un grondement
La mort sournoise vint emmener sa perdue vert le royaume de corail
Implacable et innée, les vagues l'avaient transportés vers l'encre des abyss
Lui se mourrait à genoux tel un arbre arraché à la tempête
seul sur le port, seul face à la mort
Le voeuf cria au ciel je t'en pris reviens-moi
Les déesses partageant son chagrin répondirent à la terre : plus rien pour toi ne sera.

De l'amour à la mort, tel un loup blessé solitaire
Qui ne peut sans armes se battre mais qui se bat encore
Torrents de sel à ses pupilles
Il s'en fut vers le nord
Hurlant peine et souffrance à la lune
Que l'aimer c'était mourir.
Tel Un empereur triste voyant son déchu empire
Se disant qu'il n'avait plus rien à conquérir
Alors disparu Hyrion l'âme ébréché dans la plaine avec pour seul mots :
Adieu mon assassine, adieu pauvre de moi...

L'éclat de rire ne pouvant consoler tristesse.

C'est triste... Mais tu pourrais pas raccourcir les chapitres pour qu'il y en ai plus? C'est juste une pitite idée, rien de plus...

Wouaouw ! Franchement des choses pareils j'en lit pas tout les jours ! j'ai aucune critique c'est super bien fait ! j'ai lu rapidement la deuxième partit mais la première franchement ta penser à tout (sinon ta raison je sais pas c'est quoi un "lai" xD )

Le changement brutale quand tu passe à la vie paisible et paf du descend d'un coup à une scène dramatique ! franchement j'adore !

Qu'il dansa de nombreux jours avec l'Amour.
Mais adieu il lui murmura avec regret

On vois bien la chute ici ^^ mais bon je vais pas trop approfondir sur les petit détails xD Que du bon !

Un lai c'est pas une fleur?

Dans la littérature du Moyen Âge, dès le XIIe siècle, sorte de petit poème, narratif, en vers octosyllabique ou à la rote, sur des sujets sérieux ou passionnés, empruntés le plus souvent à d’anciennes légendes. Il se disait, accompagné à la harpe.

Ah bah voilà ^^

Merci Midona d'avoir repondu x)
Si le lai etait une fleur, alors elle serait faites de tristes petales poétiques reposant dans un champ bien énamouré de la solitude qui serait une ami don't il se passerait bien.
Mais, je m'ecarte là. En tout cas je posterais la dernière partie de ce lai d'ici peu.

C'est jolie ...

J'aime beaucoup !
Toi tu sais écrire ^^

Un grand bravo !

Merci Smoker ^^
Donc je vous poste ici la dernière partie du lai d'Hyrion, ou l'on peut lire à travers ces lignes l'après deuil d'Hyrion et le faux semblant de consolation qu'il essai de mettre à son coeur dechiré.
Cette partie est très courte.

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Dans cet inhumanité
Le fils de la lumière se voit assassiné
Il n'ya plus d'etoiles dans le ciel
Noires sont mes nuits blanches Dit-il à Din la flamme toute puissante
Sombres ont été mes rêves furent adressé à Nayru la mêre ebène
Et dechues furent mes espérance à Farore la douce et franche.
Comme un soleil de fin de siècle qui s'etteint à la tombé du nouvel âge
Hyrule terres des gens libres serait-ce bien l'ombre du vieux saule
au soleil crepusculaire sous la forêts d'arbres si chaud ?
Depuis qu'elle est monté là-haut, les anges n'ont jamais été si beaux
Alors qu'en cet heure ne puit-il espêrer mieux que de vivre
en sachant qu'elle siège au royaume des cieux
et non parmis celui de corail.
Deuil de l'etheré solitaire fût fait bien tard car bel amour perdu ne soublit jamais.
Ce fut le dernier au revoir à l'ydille inegalé, et dire que dans l'ivresse des profondeurs il y voyait une derniere chance sans pourtant s'estimer à la hauteur de penêtrer son existence.
Maintenant tout s'en va avec le vent mais rien ne s'oubli pourtant.
Allons Hyrion marche sous la lune accompagné des etoiles
Tu ne puis rester en cet instant plus seul dans le champ de fleurs de ta vie que la detresse à fauché !
Même si tu as le coeur qui renverse à la memoire de ses yeux qui te colle a la peau
et que dans les bars du port tu cherche magie noire
pour delivrer ton corps du sort que l'on ta jeté
Tu diras aux hyliens solidaires qu'elle avait les yeux noirs dans lequel on voit du bleu
qu'on prend pour l'ocean dans lequel on scrute le dit-lieu
et qui font toucher du bout des doigts ces horizons
Et meme si tu as vagues de sanglots et du sel dans la gorge
Ainsi que sur la plaie de ton coeur coeur tatoué
Tu ne fera que crier son nom au fond des verres de vin.
Jusqu'a te dire que sa vie oui ne fût qu'une catin.
Cela ressemble à un naufrage mais il n'en est point
Allez jure allez crache au vide devant toi
Les vertiges et la peur tu ne connais pas ignore-tu la mort oui tu ne connais pas
Hyrion reprends tes esprits tombés ici dans la cité perdue en travers la douleur et la melancolie
Tout ira bien, car oui tu ignore le vide devant toi.
Aux lumières de la ville ces visages sans nom
Tenterait-tu un exil dit-moi vers quels horizons...
Ecorché, dechiré. Allez danse la vie allez transe la nuit
"S'ilteplait ma memoire je ne suis que l'enfant du paradis qui ne recherche qu'une escale...
Allez dit-moi que dans mes yeux on y vois encore le feu, et la flamme qui ne s'eteint pas..."

Moi j'dis *snif*

C'est beau mais triste ... Mais c'est beau !

Pourquoi il n'y a pas de petite sweet

Peut-être un jour, pour le moment je n'ai pas la facilité d'avoir l'inspiration Bientot si cela peut revenir...

J'éspère

vivement la suite